Elections en Gèce. Voilà que la Grèce fait de
Elections en Gèce.
Voilà que la Grèce fait de nouveau parler d'elle. La gauche rejette l'austérité, ce que je peux
comprendre: elle n'a donné aucun résultat ! Cependant la dette grecque s'élève à 320 milliards
d'euros: délirant !
Pourquoi avoir aidé un pays qui n'a jamais travaillé ? Un pays qui a toujours refusé de payer
l'impôt. Comme dans beaucoup de pays du Sud, les hommes ne travaillent pas: ils sont au bistrot
pendant que les femmes effectuent les corvées !
Durant quarante ans, les classes aisées grecques n'ont jamais payé le moindre impôt: de quel droit ?
Et voilà que les dirigeants de l'UE, dans leur naïveté, ont voulu sauver ce pays de fainéants à
coup de milliards. Aberration. Il fallait tout simplement se séparer du boulet. Il fallait leur dire:
nous n'avons pas besoin de vous. D'ailleurs les Allemands - qui travaillent - étaient au départ très
réticents à l'idéer de subventionner le déficit abyssal de ce pays corrompu jusqu'à la moelle.
Et je les comprends.
La faillite de la Grèce est à l'image de la faillite de l'Europe. L'Union Européenne est une
monstruosité coûteuse pour le citoyen honnête. Je suis fou furieux lorsque je vois le salaire de
ces fonctionnaires du Parlement Européen à Luxembourg (nous les transportons dans nos bus):
8000 euros par mois, net, pas d'impôt et des voitures de fonction. Pour quel résultat ?
Et voilà que le parti qui a gagné les élections en Grèce, veut un aménagement de la dette colossale,
pour ne pas dire une suppression pure et simple d'une partie de la dette ! Mais de quel droit ?
Laissez-moi vous raconter cette petite histoire. Votre voisin, avec lequel vous entretenez de bonnes
relations, vous demande de lui prêter 50 000 euros afin de réaliser des travaux dans sa maison.
Vous avez confiance en lui, vous aimez son voisinage, vous êtes même le parrain du dernier né
et lorsque vous vous trouvez dans votre jardin, vous vous abstenez de regarder, à travers la haie,
sa jeune épouse,avec des yeux lubriques! Bref, tout va bien. Vous lui prêtez les 50 000 euros,
parce que vous êtes chauffeur de bus à la Ville de Luxembourg et que vous avez un bon salaire.
Mais voilà qu'il vous rembourse les trois ou quatre premières mensualités (un plan de remboursement
avait établi d'un commun accord) et puis il ne rembourse plus rien. Il vient vous trouver et vous dit:
"Mon cher voisin, veux-tu bien effacer la moitié de ma dette, je ne pourrai jamais te payer ?"
Comment allez-vous réagir ? Très mal, j'imagine.
C'est la même chose avec ces Grecs ! Ils n'ont même pas la dignité de reconnaître qu'ils ont
vécu "comme des nègres" durant quarante ans ! On me pardonnera l'expression.
Qu'on en finisse une fois pour toutes avec cette politique européenne de merde ! Qu'on se lève tous
comme un seul homme et qu'on dise à ces salopards de fonctionnaires européens: on ne veut plus
de votre politique pourrie ! Nous ne croyons plus en vous ! Mais ils n'ont toujours pas compris...